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Revue trimestrielle T3 — 2024

Stratégie d’investissement : automne 2024

La première loi de Newton, ou le principe d'inertie, indique que tout corps conservera son état de mouvement rectiligne uniforme en ligne droite dans lequel il se trouve, à moins qu'une force ne soit appliquée sur ce corps. Cette loi de la physique semble désormais s’appliquer aux principaux indices boursiers nord-américains alors que les nouveaux sommets ne cessent de s’accumuler.

Évidemment, après des performances spectaculaires depuis un peu plus de douze mois, il est tout à fait raisonnable de se poser des questions, à savoir si la tendance peut se poursuivre.

Les économies américaine et canadienne partagent une tendance commune : le refroidissement de leur marché de l’emploi. Pour le moment, ce repli semble se faire dans l’ordre. La hausse du taux de chômage est essentiellement attribuable à la croissance démographique, tandis que les mises à pied demeurent près des creux cycliques. Les deux économies ont affiché une croissance respectable au premier semestre, et nous prévoyons une expansion modeste, mais continue dans les prochains mois, ce qui est peu susceptible de déclencher des mises à pied comme on en voit typiquement lors d’une récession.

Deux facteurs importants influenceront tout de même fortement ces perspectives. Le premier est le résultat des élections américaines. Comme il s’appuie fortement sur les tarifs universels, le programme de Donald Trump aurait des effets nets négatifs sur la croissance et ferait grimper l’inflation aux États Unis et possiblement ailleurs. Le deuxième facteur réside dans la manière dont les banques centrales géreront la normalisation des taux, dans un contexte où leurs décisions refléteront le difficile arbitrage entre les risques liés à la croissance et à l’inflation.

Dans les cycles où les baisses de taux ont permis de prolonger l'expansion économique et de maintenir les bénéfices des entreprises sur une tendance haussière, les actions se sont plutôt bien comportées. À l’inverse, lorsque la stimulation monétaire n'a pas pu empêcher un ralentissement économique (c'est-à-dire en 2001 et 2007), les actions ont enregistré des pertes importantes l'année suivante.

L’environnement actuel semble s’orienter vers un atterrissage en douceur. Le marché de l’emploi se refroidit, mais les créations d’emplois se poursuivent à un rythme modéré. Les bénéfices des entreprises et la richesse des ménages sont en bonne santé.

Investir dans un contexte de décélération économique rime avec une certaine dose de prudence : on maintient un positionnement stratégique prudent, mais tactiquement en ligne avec nos cibles afin d’être en mesure de saisir les occasions lorsqu’elles se présenteront. Nous recommandons un positionnement qui surpondère légèrement les obligations et l’encaisse au détriment des actions.

Équipe Lafrenière Bellerose

Juillet 2024

JUILLET. La course exaltée des actions en juillet a mis en évidence que de miser seulement sur sept grandes entreprises technologiques n’est plus une opération simple et facile à réaliser. Les investisseurs se sont tournés vers d’autres secteurs en pariant sur le fait que la direction de la politique monétaire américaine allait stimuler davantage les marchés boursiers. Malgré cela, les indices évoluent sous leurs sommets, tirés vers le bas par leur groupe le plus influent : la technologie. La barre à franchir pour inverser cette tendance historique de rendements faibles est très élevée. Mais le vent peut-il tourner rapidement ? Un changement boursier soudain pourrait-il se produire ?

MARCHÉS FINANCIERS. L’indice phare américain s’est élevé de 2,2 % (1,2 % en $ US), un huitième gain mensuel sur les neuf derniers mois. Cela mène son rendement à 22 % pour 2024 (16,7 % en $ US). Une première depuis février 2001 : 9 des 11 secteurs du S&P 500 ont surpassé l’indice. La chute des taux n’a cependant pas permis de prolonger les gains pour les indices technologiques du Nasdaq et du Nasdaq-100 (plus concentré), les deux reculant de 0,7 % et 1,6 % respectivement.

Les actions de la zone euro ont évolué dans le vert, quoique la répartition des rendements est variable d’une région à l’autre.

Au Canada, le TSX s’est apprécié de 5,9 %, une hausse représentant 48 % de la performance annuelle de l’indice (12,3 %).

MARCHÉ OBLIGATAIRE. L’élan derrière la candidature de Donald Trump à la présidence a mis sous pression les obligations à long terme et fait grimper leurs rendements. Le calcul du marché est que ses plans en matière de baisses d’impôts et de hausse des tarifs douaniers vont raviver l’inflation et aggraver les finances américaines, surtout si le parti républicain prend complètement le contrôle du congrès. Ce « Trump trade » a eu pour effet secondaire de récompenser les investisseurs qui parient sur un retour à la normale du marché obligataire après une période inhabituelle où les rendements à court terme ont dépassé ceux de la dette à long terme.

PRODUITS DE BASE. Du côté des matières premières, le marché, représenté par l’indice Bloomberg Commodat Spot Index, a perdu temporairement tous ses gains de l’année. Les conditions difficiles en Chine, la chute du prix du gaz naturel américain et les pertes subies dans le secteur des denrées alimentaires ont pesé sur l’indice.

DES NOUVELLES AU SUJET DE NOS TITRES

FoodHero, l’application montréalaise consacrée à la lutte contre le gaspillage alimentaire, a annoncé l’expansion de son partenariat stratégique avec Empire Company Limited, élargissant ainsi considérablement sa portée dans de nouvelles régions, dont l’Ontario, le Canada atlantique et l’Ouest du Canada. Cette collaboration constitue une étape importante de la réalisation de la mission de FoodHero, qui est de réduire le gaspillage alimentaire tout en offrant aux Canadiens et Canadiennes de partout au pays l’accès à des produits alimentaires à prix abordable. Grâce à l’expansion nationale de FoodHero, il sera possible d’obtenir des rabais intéressants sur les surplus alimentaires de plus de 500 magasins participants en Ontario, au Canada atlantique et dans l’Ouest du Canada. L’application facile à utiliser met les consommateurs et consommatrices en contact avec les marchands et leur permet d’acheter certains produits en profitant de réductions pouvant aller jusqu’à 60 % au Québec et jusqu’à 50 % ailleurs au Canada.

Dollarama a annoncé qu’elle augmentait sa participation dans Dollarcity de 10 % pour la faire passer à 60,1 %, en échange de 6 060 478 d’actions ordinaires de Dollarama. La valeur implicite totalise 554 millions de dollars américains (M$ US).

Dans le cadre de cet achat, le détaillant montréalais a convenu avec les actionnaires fondateurs de Dollarcity que le territoire mexicain sera le prochain marché d’implantation. « Le Mexique a une population de près de 130 millions d’habitants et un marché de vente au détail dynamique. Nous pensons que les consommateurs locaux seront intéressés par la proposition de valeur de Dollarcity, comme cela a été le cas dans nos pays d’opération actuels en Amérique latine », a indiqué le président et chef de la direction de Dollarama, Neil Rossy, lors d’un appel avec des analystes.

Août 2024

AOÛT. Les actions mondiales ont été frappées à trois reprises. Le premier coup a été un direct, sous la forme d’un scepticisme croissant à l’égard du discours sur l’intelligence artificielle (IA). Le second, plus pesant, a été un uppercut découlant de l’augmentation des inquiétudes concernant la croissance à l’échelle mondiale, et en particulier aux États-Unis. De New York à Londres, en passant par Tokyo, les craintes ont virevolté au gré de l’inconfort grandissant à la suite d’un bilan de l’emploi négatif et d’une hausse-surprise du taux de chômage. Le troisième coup : Berkshire Hathaway, la société de Warren Buffett, a annoncé qu’elle avait vendu une bonne partie de sa participation dans les actions d’Apple.

MARCHÉS BOURSIERS. Après avoir chuté de plus de 6 % sur trois jours en début de mois (-8,5 % par rapport à son dernier sommet), le S&P 500 s’est redressé et a concrétisé une maigre avancée de 0,16 % (2,4 % en $ US), soit un neuvième gain mensuel sur les dix derniers mois.

Au Canada, après un recul initial de 5,3 %, le TSX a terminé en hausse de 1,22 %, menant sa performance annuelle à 13,6 % : 7 des 11 secteurs ont conclu dans le vert. Les trois secteurs ayant eu le meilleur rendement sont les suivants : les technologies (6,2 %), l’immobilier (5 %) et les institutions financières (2,8 %). La faiblesse de la performance canadienne s’explique par le recul du dollar américain, sous la pression des incertitudes au sujet de la force de l’économie des États-Unis.

MARCHÉ OBLIGATAIRE. Maintenant que le président de la Réserve fédérale américaine (Fed), Jerome Powell, a clairement indiqué lors de son discours au symposium de Jackson Hole que les taux d’intérêt seraient réduits prochainement, le marché se concentre sur les paris relatifs à l’ampleur de la première diminution et à la trajectoire future de l’assouplissement. Les rendements ont baissé pour toutes les échéances, et le taux de référence des obligations à 10 ans termine le mois à 3,9 %, perdant 24 points de base (pbs). Selon un indice Bloomberg, les gains de la dette du gouvernement américain ont été de 1,3 %.

PRODUITS DE BASE. Le prix du pétrole a culbuté de 5,6 % (un cumulatif de 10 % sur les deux derniers mois), effaçant la presque totalité des gains de 2024. Les prix mondiaux ont subi une forte pression en raison des données économiques baissières des États-Unis et de la Chine. Les guerres au Moyen-Orient et les tensions croissantes entre Israël et l’Iran n’ont pas catalysé le prix du brut.

L’or a gagné 2,3 %, menant son gain annuel à 21,3 %. La baisse des taux d’intérêt réduit le coût d’opportunité associé à la détention d’or, tandis que les risques géopolitiques et la poursuite des achats de métal jaune par les banques centrales devraient soutenir les prix.

DES NOUVELLES AU SUJET DE NOS TITRES

Merck fait une acquisition pour renforcer sa présence dans le domaine des matériaux pour l’industrie des semi-conducteurs.

La société va racheter UnitySC, un fournisseur français de solutions de mesure et d’appareils de test pour la fabrication de semi-conducteurs. Le groupe pharmaceutique et technologique de Darmstadt faisant partie du DAX a annoncé que pour cette acquisition, il allait débourser 155 millions d’euros dans un premier temps, ce qui donnera lieu à des paiements d’étapes liés aux résultats.

UnitySC emploie environ 160 personnes, dont 70 en recherche et développement. Selon Merck, Unity-SC est l’une des rares entreprises à pouvoir proposer des solutions optiques 3D pour la mesure et le contrôle des assemblages dans la production en grande série. On prévoit de conclure l’opération d’ici la fin de l’année.

TFI International, un géant du transport et de la logistique en Amérique du Nord, continue d’étendre son influence et nous confirme l’acquisition de CMW Express (ainsi que de sa filiale FRL Express), une entreprise de transport basée à Sainte-Marie, au Québec.

Fondée en 1997 par Renaud Champagne, CMW Express est spécialisée dans le transport de marchandises et offre ses services au Québec, en Ontario, dans les provinces maritimes et aux États-Unis. Son expertise en fait un partenaire de choix pour de nombreux clients.

Avec cette acquisition, TFI International intègre l’expérience et le savoir-faire de CMW Express et accroît sa présence dans le secteur du transport de marchandises. Cette transaction stratégique permet à la société d’élargir son réseau ainsi que de consolider sa position de leader dans l’industrie du transport routier et de la logistique en offrant à sa clientèle une gamme de services encore plus étendue et efficace.

Septembre 2024

SEPTEMBRE. Aucune période ou anomalie saisonnière n’est aussi redoutée que septembre, qui est statistiquement le pire mois de l’année en bourse. Au−delà des événements historiques notables qui se sont produits à ce moment (bulle de la Compagnie de la mer du Sud de 1720, faillite de Lehman Brothers en 2008, etc.), une analyse Bloomberg démontre qu’au cours des 50 dernières années, le S&P 500 a chuté 28 fois lors de ce mois. C’est donc dire qu’il y a un peu plus d’une chance sur deux (56 %) que cela se produise.

Nous voici 30 jours plus tard, après bien des craintes et des sueurs, et il semble que l’enthousiasme des investisseurs pour le risque se soit pleinement manifesté. Les actions ont été fortement stimulées par la baisse d’un demi-point de pourcentage du taux de référence et par le fait que les responsables de la Fed ont laissé la porte ouverte à d’autres réductions importantes.

Autre facteur haussier : la Chine a annoncé un vaste programme visant à raviver la confiance dans son économie.

MARCHÉS BOURSIERS. Les marchés boursiers mondiaux ont connu un cinquième mois de hausse consécutif : jusqu’à présent, l’optimisme est en plein essor et rappelle drôlement un lâcher de taureaux à Pampelune. C’est la première fois depuis 2019 que toutes les classes d’actifs offrent des résultats positifs. Étant donné l’inflation qui se rapproche de l’objectif visé, l’assouplissement des politiques monétaires mondiales, l’amélioration des rendements du marché et les nouveaux engagements de soutien de la part des principaux dirigeants chinois, le contexte suggère que le cycle haussier pourrait avoir encore du chemin à faire.

MARCHÉ OBLIGATAIRE. La Fed et la majorité des experts estiment que l’épisode postpandémique de forte inflation est terminé. La hausse des prix n’est donc plus le principal moteur de la politique de la Fed. Le marché obligataire s’attend à ce que les autorités monétaires entament un long cycle de réduction et prévoit des baisses cumulées de 200 pbs, ce qui porterait le taux directeur à 3 % en fin 2025.

Le ralentissement de l’inflation a permis à la Banque du Canada (BdC) de normaliser sa politique monétaire et de se concentrer sur les risques de baisse de la croissance économique. Le marché escompte une réduction de 78 bps en 2024, et un assouplissement total de 172 bps d’ici septembre 2025. Ces prévisions correspondent assez bien à celles des économistes de Desjardins.

PRODUITS DE BASE. Du côté des matières premières, le marché, représenté par l’indice Bloomberg Commodity Spot Index, a bondi de 4,2 %, mais son gain trimestriel de 0,8 % est bien timide.

DES NOUVELLES AU SUJET DE NOS TITRES

La Banque de Montréal (BMO) va libérer une provision de 1,2 milliard de dollars (G$) à la suite d’une décision en sa faveur. Une cour d’appel américaine a annulé un jugement qui condamnait la filiale américaine de la banque à payer 500 millions de dollars américains (M$ US), estimant qu’elle n’était pas responsable des pertes liées à une fraude à la Ponzi de plusieurs milliards de dollars.

Suivant cette décision, la BMO a déclaré qu’elle annulerait la provision de 1,2 G$ qu’elle avait constituée pour cette affaire. Cela se traduira par un recouvrement de 875 M$ après impôts, qui apparaîtra dans les résultats du quatrième trimestre.

BMO a fait appel d’un verdict rendu contre une banque qu’elle a acquise en 2010, la Marshall and Ilsley Bank (M&I), pour son rôle supposé dans la facilitation d’une fraude à la Ponzi orchestrée par Thomas Petters et sa société, Petters Company Inc. (PCI).

Darling Ingredients Inc. (NYSE : DAR), leader mondial dans la conversion de sous-produits comestibles en biens durables, a nommé Randy Hill comme administrateur indépendant à son conseil d’administration, avec effet immédiat. Il contribuera aux comités de durabilité et d’audit du conseil. Associé chez Opportune LLP, Randy Hill mettra à profit la riche expérience qu’il a acquise dans le cadre de ses rôles précédents, notamment celui d’associé d’audit chez KPMG.

Son expertise en matière de services financiers, de gouvernance d’entreprise, de fusions et d’acquisitions, ainsi que de questions complexes devrait renforcer les capacités globales d’analyse financière et de comptabilité de la société.

Darling Ingredients exploite plus de 260 installations dans plus de 15 pays, traitant une part importante des sous-produits de l’agriculture animale mondiale. L’entreprise est également un producteur majeur de collagène et d’énergie renouvelable.

Votre patrimoine, notre accompagnement

Depuis maintenant plusieurs années, nous remarquons que la clientèle recherche bien plus qu’un simple accompagnement en matière de gestion de placements.

Nous avons donc grandement fait évoluer notre offre afin de proposer à nos clients et clientes la meilleure des expériences sur le marché. Saviez-vous que notre vaste éventail de services va au-delà de la gestion de placements ?

Nous vous invitons à consulter la liste des services ci-dessous.

N’hésitez pas à communiquer avec nous si vous souhaitez bénéficier de l’un de ces services ou en apprendre plus sur notre offre d’accompagnement.

Planification financière

La planification financière a pour but d’optimiser votre patrimoine en vous offrant une vue globale de votre situation actuelle et de vos objectifs ou projets. Tous les volets de votre planification financière sont abordés avec des spécialistes (notaires, fiscalistes, etc.) afin de vous présenter les meilleures stratégies pour atteindre vos buts.

Planification successorale

Grâce à une formule sur mesure, vous pouvez éviter de nombreux soucis à vos proches après votre décès. Nous vous accompagnons afin de vérifier que vos documents juridiques reflètent bien vos volontés tout en réduisant l’impôt payable par votre succession.

Votre liquidateur ou liquidatrice et vos héritiers ou héritières peuvent également bénéficier d’un soutien afin de bâtir ou de consolider leur patrimoine. Si vous n’avez pas de liquidateur ou liquidatrice, ou si vous souhaitez confier cette responsabilité à une personne « neutre », les services fiduciaires pourraient vous aider en ce qui a trait à la gestion de votre succession.

Consultation fiscale

Une saine gestion de votre facture fiscale vous permet d’optimiser vos revenus. Grâce à nos spécialistes, vous aurez un portrait clair des avantages et des inconvénients de votre situation et connaîtrez les stratégies possibles pour atténuer les conséquences financières liées à votre dynamique familiale et à votre contexte particulier.

Vous pourrez ainsi réaliser vos projets en tenant compte des différents aspects fiscaux soulevés.

Protection de votre patrimoine

Afin de vous protéger, vous, vos proches et vos biens, des conséquences financières d’une maladie, d’un accident ou de toute autre situation difficile, nous offrons une solution complète et personnalisée pour votre patrimoine.

Elle comprend notamment de l’assurance de personnes (vie, invalidité, maladies graves, etc.), des stratégies de création de richesse intergénérationnelle et de l’assurance de dommages.

Financement et solutions bancaires

Qu’il s’agisse de la gestion de vos finances au quotidien ou de la réalisation de vos projets (exemples : rénovations, acquisition d’un chalet ou d’une embarcation), nos équipes sauront vous accompagner dans le choix des produits de financement les mieux adaptés à vos besoins : prêt hypothécaire, crédit à la consommation, marge de crédit.

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