Depuis 1980, le S&P 500 a baissé de 25 % ou plus à 7 reprises. Après de tels plongeons, il se retrouve en moyenne en hausse de 10,9 %, 10,1 %, 24,9 %, 40,4 % et 111,0 %, après 3 mois, 6 mois, 1 an, 3 ans et 5 ans respectivement.
Une bonne nouvelle, s’il en est une dans les circonstances, est que le marché obligataire s’est finalement aligné sur les attentes de la Fed. Si le choc d’ajustement a été particulièrement brutal pour les marchés obligataires, tout ajustement subséquent devrait être induit par de nouvelles surprises à la hausse de l’inflation. Powell a pris le contrôle du marché obligataire! Plusieurs facteurs apportent un peu d’espoir de répit, alors que la plupart des commodités ont pris des tendances baissières sous les craintes récessionnistes. Sur le plan des chaînes d’approvisionnement, malgré des segments encore tendus, on observe un assouplissement général.
Les quelque 35 dernières années de Grande Modération, caractérisées par une croissance stable et une inflation maîtrisée, ont permis au traditionnel portefeuille 60/40 de s’épanouir sans trop de difficultés. Le contexte actuel, lui, où les banques centrales réduisent la souplesse monétaire pour combattre l’inflation généralisée, met une importante pression sur le rendement du portefeuille 60/40. Sa performance sur les neuf premiers mois de 2022 est historiquement médiocre. Depuis 1926, seules les années 1931 et 1974 ont été pires.
Aux yeux de l’investisseur, la détention de titres de dette (en détention directe ou en mandat délégué) peut avoir perdu de son lustre et de son attrait. Cette méfiance est tout à fait fondée. Le phénomène des taux d’intérêt planchers des dernières années a instauré un important conflit d’opinions quant à la pertinence d’une détention d’obligations de qualité en portefeuille.
Les obligations viennent atténuer le principal problème des actions, soit d’être l’actif le plus risqué et le plus volatil en portefeuille. Elles lissent les performances de l’investisseur et réduisent la volatilité globale du portefeuille. Les inclure, c’est réduire le risque plus rapidement qu’on ne réduit le rendement espéré! Chaque classe d’actif joue un rôle déterminant. Celui du revenu fixe, c’est d’être le pion défensif du portefeuille. Il ne faut pas le dénaturer. La période inflationniste actuelle est unique en soi, car elle est synonyme d’une hausse des taux, ce qui fait nécessairement mal à la partie obligataire. Ainsi, cette année, même les portefeuilles considérés les plus prudents perdent le nord.
C’est une situation temporaire.
La plupart des actifs financiers ont fortement rebondi en juillet à la suite des faibles performances en première moitié d’année. Les anticipations de ralentissement économique ont amené plusieurs intervenants à anticiper un pivot de la part des banquiers centraux, allant même jusqu’à anticiper que ceux-ci passeraient rapidement des hausses agressives… à des baisses dès l’an prochain (lunettes roses?). La détérioration des données économiques menant à la diminution des taux d’intérêt a apporté indirectement de l’oxygène à l’évaluation des actions, stimulant plus particulièrement les créneaux récemment touchés.
Comme dans une tour de Babel, les intervenants du marché des actions et ceux des obligations ne semblent plus se comprendre! Encouragé par une nouvelle saison des résultats où près de 75 % des compagnies excèdent les attentes et affichent des croissances décentes année sur année, le marché des actions continue d’anticiper de nouvelles progressions des bénéfices pour les six à douze prochains mois.
MARCHÉ OBLIGATAIRE, ENFIN UN PEU D’AIR! Après un rude début d’année pour le marché obligataire canadien, le gain de 3,90 % en juillet constitue sa meilleure performance depuis janvier 2015. Le segment long terme (7,25 %) a dominé le moyen (4,63 %) et le court terme (1,21 %) alors que la performance depuis le début d’année est toute inversée avec un recul de 3,23 % pour le court terme, de 7,24 % pour le moyen terme et de 16,47 % pour le long terme. Bien que les pertes ne soient jamais agréables à subir, les rendements espérés du marché obligataire se sont considérablement améliorés depuis le début d’année et surtout, offrent davantage de potentiel de contrecarrer des pertes soudaines du marché des actions. Le portefeuille 60/40 n’est donc pas encore mort.
Assisterons-nous à une récession nouveau genre? Une récession où personne ne perd son emploi? Après tout, le début des années 90 a offert une reprise économique sans création d’emplois… alors pourquoi pas une récession sans perte d’emplois? Techniquement, l’économie américaine vient d’afficher deux trimestres consécutifs de décroissance économique, ce qui est généralement la définition populaire d’une récession. Or, après la récente publication des données de PIB américain, le National Bureau of Economic Research s’est empressé de mentionner que l’économie américaine n’était PAS en récession… du moins, pas pour le moment. Bref, l’histoire reste à écrire. Toutefois, parions que bien des entreprises qui étaient déjà affligées de pénuries de main-d’œuvre avant la pandémie, et qui le sont encore bien davantage maintenant, y penseront sérieusement avant de congédier qui que ce soit. Si nous devions vivre un ralentissement économique ou une récession où personne ne perd son travail, alors difficile d’imaginer que les revenus des ménages, tout comme les revenus des entreprises, soient significativement amputés. Certes, la croissance pourrait faire place au statu quo. Comme mal, on aura vu pire.
La société de capital-investissement CVC Capital et le fabricant de panneaux de bois Kronospan ont soumis une manifestation d’intérêt afin d’acquérir la société canadienne de bois West Fraser Timber Co., a déclaré Reuters, citant des personnes proches du dossier. CVC et Kronospan ont déclaré à la direction de West Fraser qu’ils aimeraient poursuivre les négociations de l’accord, bien que les conditions de rachat proposées demeurent inconnues. La nouvelle a fait grimper les actions de West Fraser de plus de 21 % à 100,82 $ par action dans les échanges avant commercialisation.
Le plan de retour d’Intel pour participer à la course mondiale aux puces
Intel semble déterminée à renforcer ses opérations pour prendre ses rivaux de front. Alors que l’ambitieuse stratégie d’expansion de l’entreprise devrait servir à cette fin, Intel a également pris des mesures concrètes, notamment des décisions importantes en matière d’allocation de capital, pour soutenir cet objectif.
La compagnie a l’intention de surfer sur la vague de croissance de l’industrie des semi-conducteurs grâce à sa stratégie d’expansion agressive. La société vise à reconquérir des parts de marché avec une croissance des revenus d’une année sur l’autre de 10 % à 12 %, des marges brutes de 54 % à 58 % et des flux de trésorerie disponibles importants en 2025 et 2026.
Maintenant la cadence sur l’échappée de juillet, le mois d’août s’est amorcé sur une belle lancée. Mais c’était avant que les marchés ne réalisent que les principaux banquiers centraux allaient faire la lutte à l’inflation coûte que coûte… quitte à infliger des dommages économiques tant aux entreprises qu’aux ménages. Il n’aura fallu que 8 minutes du discours de M. Powell à Jackson Hole pour convaincre quiconque veut l’entendre que la Fed allait poursuivre son cycle de resserrement, tant et aussi longtemps que nécessaire, afin que l’inflation revienne dans sa zone de confort.
MARCHÉ OBLIGATAIRE, LE REBOND DE JUILLET N’ÉTAIT QU’UNE BULLE D’AIR! Le gain affiché en juillet par le marché obligataire canadien n’aura pas su être l’amorce d’une nouvelle tendance, alors qu’il est à nouveau tombé en territoire négatif en août.
TSX.Malgré un léger recul de 1,55 % en août, la performance de l’indice phare canadien brille comparativement à ses voisins du Sud ainsi qu’a la plupart des bourses étrangères. Néanmoins, le TSX est tout de même en perte de 7,11 % depuis le début d’année. En comparaison avec les autres bourses, c’est peut-être mieux.
S&P 500. Après être sorti du seuil de bear market (recul de plus de 20 %) en juillet, le S&P 500 a de nouveau fléchi en août avec un recul de 4,08 %, portant sa perte à 16,15 % depuis le 1er janvier. Toutefois, les pertes ne sont respectivement que de 1,96 % (août) et 13,20 % (2022) une fois converties en devise canadienne. Encore une fois, le dollar américain s’affiche comme valeur refuge.
COMMODITÉS, LE GAZ NATUREL ET RIEN D’AUTRE! Les inquiétudes entourant l’approvisionnement énergétique européen pour la prochaine saison hivernale continuent de stimuler la demande pour le gaz naturel. De plus, la quasi-totalité des commodités affiche des replis en août. Les métaux industriels souffrent de la détérioration des données économiques. Le cours des denrées s’est replié au moment où une partie de la production céréalière d’Ukraine parvient à se frayer un chemin vers le Moyen-Orient et que la production nord-américaine est au-dessus des attentes. Pour sa part, le lingot est sous pression tandis que la devise américaine reprend sa stature d’ultime valeur refuge et que la remontée des taux américains fait renaître l’attrait des investisseurs étrangers pour le billet vert. Enfin, la remontée des taux ne fait pas bon ménage avec le marché de l’habitation, plombant davantage les cours du bois d’œuvre. Ceux-ci sont d’ailleurs en baisse de plus de 50 % depuis le début d’année.
La société canadienne Open Text Corp. a accepté d’acheter la société de logiciels britannique Micro Focus International plc pour environ 6 milliards de dollars, dette comprise, en s’appuyant sur une stratégie de croissance par acquisition avec sa plus importante transaction à ce jour. La société basée à Waterloo, en Ontario, a offert une prime de 99 % par rapport au cours de clôture.
Il s’agit de la plus importante acquisition d’Open Text à ce jour, selon BMO Capital Markets, et la société ne prévoit pas d’émettre des actions pour la financer. Elle a plutôt l’intention de lever 4,6 milliards de dollars de nouvelles dettes, de tirer 600 millions de dollars d’une ligne de crédit existante et d’utiliser des liquidités sur son bilan.
La plupart des investisseurs d’Apple auraient été satisfaits que la société ait tout simplement pulvérisé les estimations des analystes dans leur rapport sur les résultats du troisième trimestre, mais il y a eu de plus en plus d’élan haussier généré depuis. Et malgré une chute de 30 % par rapport au sommet historique qu’ils ont atteint de janvier dernier à la mi-juin. Apple dépasse facilement le marché au sens large, en hausse de 25 % par rapport aux creux de juin contre 13 % enregistrés par l’indice de référence S&P 500. Alors que Wall Street acceptait déjà clairement l’idée que les actions d’Apple avaient chuté un peu trop avant la publication, les derniers chiffres de la société ont confirmé cette théorie la semaine dernière. Malgré des vents contraires sur le plan macroéconomique sous la forme d’une hausse de l’inflation, de restrictions liées à la COVID-19 en Chine et du dollar en hausse, ils ont quand même réussi à dépasser les attentes. La plus grande entreprise au monde en matière de capitalisation boursière a également déclaré s’attendre à une « accélération » de ses ventes au cours du trimestre en cours, ce qui a conduit de nombreux analystes à réajuster à la hausse leurs prévisions pour les chiffres du quatrième trimestre.
Des signes persistants d’une inflation obstinément soutenue inquiètent les investisseurs et infligent des pertes significatives aux principales bourses. Le S&P 500, le Nasdaq et le Dow Jones affichent leur pire début d’année depuis… 2002! Le rallye amorcé en juin et initié par l’espoir que l’inflation flancherait d’elle-même, permettant du coup à la Fed d’adopter un ton plus conciliant, n’a donc pas tenu. Ce n’était, hélas, qu’un espoir!
À QUAND L’ACCALMIE ATTENDUE DE L’INFLATION? Un retour à la normale de l’inflation demandera un certain temps. Si l’inflation devait cesser de progresser mois sur mois, l’inflation serait de retour à près de 3, % en mars prochain. Si toutefois elle maintenait une cadence de 0,2 % mois sur mois, alors elle s’établirait toujours à plus de 4,5 % le printemps prochain, ce qui nécessiterait probablement davantage de resserrement monétaire.
En ce qui concerne les chaînes d’approvisionnement, malgré des segments encore tendus, on observe un assouplissement général. D’ailleurs, l’indice de la Federal Reserve Bank of New York et de CBRE sur les pressions des chaînes d’approvisionnement a bien décroché de ses sommets et maintient une trajectoire fortement baissière.
MARCHÉ OBLIGATAIRE : APPEL À LA LUCIDITÉ! Si l’idée d’ajouter de l’exposition au marché obligataire, ou encore de rallonger la durée des portefeuilles face à un cycle agressif de resserrement monétaire n’est certes pas des plus invitantes, le jour viendra où l’investisseur pourra passer à l’action. Pour le moment, nous privilégions néanmoins la prudence et maintenons une recommandation de sous-pondérer la classe d’actif ainsi que d’opter pour une durée relativement plus courte. Le jour viendra… mais pas maintenant!
TSX : LA MINCE CONSOLATION CANADIENNE. Malgré un recul de 4,26 % en septembre, l’indice phare canadien clôture le troisième trimestre avec un léger repli de 1,35 %, soit nettement mieux que les rivaux américains.
RÉSULTATS : RETOUR SUR TERRE DES ATTENTES 2023? Les prochaines semaines annoncent le lancement de la période de publication des résultats du troisième trimestre. Si le rythme de croissance des bénéfices doit poursuivre sa décélération, les bénéfices des troisième et quatrième trimestres sont tout de même attendus en progression de 8 à 10 % comparativement aux mêmes périodes l’an dernier.
UN BEAR MARKET? Être un investisseur à long terme implique implicitement de faire face à des marchés baissiers plus sévères. Ceux-ci ne représentent pourtant pas les défis les plus grands auxquels ils feront face, mais plutôt les mauvais choix qui risquent d’être pris pendant ces épisodes. Les marchés baissiers modifient les schémas de prise de décisions. Alors que bien de bonnes décisions d’investissements semblent folles en marché baisser, bon nombre de décisions discutables semblent brillantes en marché haussier.
Le géant des dépanneurs a affiché un bénéfice net de 872,4 millions de dollars US au premier trimestre de 2023, une augmentation de 108 millions par rapport à la même période l’an dernier. Dans ses résultats publiés mardi, l’entreprise a également fait état de revenus totaux de 18,7 milliards de dollars US au premier trimestre, en hausse de 37,4 % par rapport aux 13,6 milliards il y a un an. Les prix anormalement élevés de l’essence ont contribué à augmenter les profits de l’entreprise.
CVS Health a conclu un accord pour acquérir la société de soins de santé à domicile Signify Health pour environ 8 milliards de dollars, ont annoncé lundi les sociétés concernées. CVS a déclaré qu’elle paierait 30,50 $ par action en espèces pour Signify, une acquisition qui s’appuierait sur ses services de santé en pleine croissance. Signify offre des soins aux patients par le biais de visites virtuelles et en personne, en utilisant la technologie et l’analyse pour alimenter son service.
TELUS a reçu le prix d’excellence en durabilité aux World Sustainability Awards de 2022 pour son leadership mondial et son engagement à bâtir un futur meilleur et plus durable. Lors de la remise des prix, tenue à Munich, les juges ont récompensé TELUS pour sa stratégie ambitieuse en matière de durabilité, ses pratiques commerciales en environnement et ses progrès rapides en matière de diversité et d’inclusion.
Pourquoi donc geler son argent dans un placement à terme?
Question fort intéressante. Possiblement parce que l’investisseur fait de l’appariement selon un besoin spécifique nécessitant d’exclure les variations de marché de l’équation ou qu’il est intolérant aux risques. Ou alors il le fait pour l’achat d’une maison ou un projet nécessitant des décaissements à valeur fixe dans le temps (stratégie d’appariement par échelonnement). Ou encore parce que son profil d’investissement et sa tolérance aux risques requièrent une stratégie prudente.
Certainement pas pour « timer » le marché!
Saviez-vous que le rendement moyen de l’indice des obligations universelles FTSE Canada était de 4,03 % à la fin août? Bref, les obligations s’ajustent au contexte actuel. Le rendement des obligations est conséquent à la toile de fond économique et financière. En prime, les obligations gouvernementales sont liquides. Pourquoi geler son argent dans un placement à terme (3 ou 5 ans) quand vous pouvez investir dans une obligation, un fonds négocié en bourse ou un fonds commun d’obligations? La gestion active des obligations prend ici tout son sens.
Les corrections de marché font partie d’un cycle d’investissement normal. Elles ne sont pas souhaitables, j’en conviens! Ne perdons pas de vue que les marchés financiers sont un phare sur l’horizon et qu’ils réagissent plusieurs mois en amont. D’ailleurs, ils ont déjà prévu la récession… Actuellement, ils s’ajustent à une politique monétaire demeurant restrictive le temps qu’il faudra pour freiner l’inflation. Ensuite, ils anticiperont la reprise économique et le statu quo monétaire. Les marchés financiers sont le reflet en temps réel de la somme des anticipations des investisseurs.
Geler son argent dans un placement à terme, c’est un peu comme conclure que les marchés financiers sont gelés dans le temps.
C’est ainsi que nous faire confiance dans la gestion de vos placements prend tout son sens. Avant la montée de l’inflation et les risques de récession, notre position obligataire avait une durée d’environ 5 années, alors qu’actuellement, nous avons réduit la durée à environ 3 ans afin de protéger vos actifs et de réduire les fluctuations ressenties par votre portefeuille. Un avantage indéniable de la gestion active.
N’hésitez pas à consulter votre conseiller afin d’en savoir plus!
Un marché baissier? Laisser ses émotions de côté… plus facile à dire qu’à faire!
Être un investisseur à long terme implique implicitement de faire face à des marchés baissiers plus sévères. Ceux-ci ne représentent pourtant pas les défis les plus grands auxquels ils feront face, mais plutôt les mauvais choix qui risquent d’être pris pendant ces épisodes. Les marchés baissiers modifient les schémas de prise de décisions. Alors que bien de bonnes décisions d’investissements semblent folles en marché baisser, bon nombre de décisions discutables semblent brillantes en marché haussier.
Pour obtenir du succès en investissement à long terme, il est capital de pouvoir naviguer dans des périodes plus houleuses. Les marchés baissiers sont inévitables et font partie d’un cycle complet. À moins de vivre dans une bulle de verre, il est certain que des marchés baissiers émergeront. Ceux-ci ne devraient pas être une surprise. Après tout, le rendement à long terme des actions serait nettement inférieur, si ce n’était de la possibilité de déployer davantage de capital lorsque les marchés sont en recul.
A posteriori, les marchés baissiers auront l’air d’avoir été prévisibles. Qui plus est, l’horizon d’investissement se contractera. Les marchés baissiers entraînent de la panique et de l’incertitude. L’investisseur cesse alors de se soucier de la valeur de son patrimoine dans 20 ans et se soucie davantage de sa valeur dans la prochaine heure. Être un investisseur à long terme devient particulièrement plus inconfortable dans un marché baissier.
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