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Revue trimestrielle T2 — 2023

Stratégie d’investissement pour la deuxième partie de l’année 2023

Les taux d’intérêt ont augmenté au cours du dernier mois, les banques centrales ayant à nouveau durci le ton. Devant une activité économique qui refuse de ralentir et des pressions inflationnistes toujours fortes, la Banque du Canada a mis fin à sa pause du taux directeur, tandis que la Réserve fédérale américaine a commencé à envisager un taux final encore plus élevé. Cette situation a poussé les taux d’intérêt encore plus haut sur l’ensemble des courbes des obligations souveraines.

Nous avons graduellement adopté une position de plus en plus défensive au cours des derniers mois. Or, on assiste à une reprise des actifs à risque. Quelque chose nous aurait-il échappé?

  • Le seul contexte où tant les actions que les titres d’emprunt pourraient produire des rendements solides au cours de la prochaine année serait celui d’une « immaculée désinflation » au cours de laquelle l’inflation reviendrait à la cible sans qu’il y ait de récession. Aussi bien croire aux licornes ou à une terre plate!
  • Cela constituerait un précédent historique. Pour le moment, l’inflation sous-jacente des États-Unis persiste autour de 4 %, soit plus du double de la cible officielle, et il en va de même au Canada. La croissance résiliente des quelques derniers mois montre des signes d’essoufflement.
  • Nous nous attendons toujours à une récession aux États-Unis à partir de la fin de cette année ou encore en début de 2024. Vraisemblablement, celle-ci frappera plus tôt au Canada.

Le rebond récent des actions n’est pas atypique dans un cycle baissier. L’ampleur du mouvement sur le marché et les mauvais résultats d’autres actifs comme les produits de base et les denrées ne pointent pas vers une reprise durable.

Conclusion : on aimerait croire en un atterrissage en douceur, mais la voie pour y parvenir est très étroite. L’incertitude est trop grande pour suggérer d’acheter à profusion des actifs risqués. Il ne faut pas non plus prendre des décisions par peur de rater quelque chose d’important. Nous recommandons désormais de surpondérer les obligations gouvernementales, de garder une proportion de liquidités neutre et de sous-pondérer modérément les actions et titres d’emprunt.

Équipe Lafrenière Bellerose

 

Avril 2023

Dans sa grande sagesse, ma mère me rappelait le célèbre dicton « En avril, ne te découvre pas d’un fil. » À voir le comportement des investisseurs au cours du dernier mois, ils n’ont pas appliqué cet adage! Avec la chute d’une autre banque américaine (First Republic), une inflation toujours au-dessus des cibles, une détérioration des données économiques et une saison des bénéfices au mieux ordinaire, les investisseurs présentent des symptômes de l’anxiété de ratage. Faisons maintenant le bilan.

ACTIONS – Malgré les tensions dans le secteur bancaire, le S&P 500 a grimpé de 1,6 % en avril, de 9,2 % depuis le début de l’année et de 17,6 % depuis les creux d’octobre. Cette poussée a été stimulée par une réduction de la volatilité. Pour sa part, le TSX a monté de 2,90 % en avril, enregistrant une progression annuelle de 7,60 %.

RÉSULTATS – Maintenant que 64 % des sociétés suivies par le S&P 500 ont dévoilé leurs résultats, nous pouvons estimer que les bénéfices au premier trimestre devraient décliner de 3,2 %, et ce, malgré une croissance de 2,7 % des revenus. Cela signifie que les marges bénéficiaires subissent des pressions inflationnistes qu’on ne peut attribuer entièrement aux consommateurs.

OBLIGATIONS – La recrudescence des inquiétudes a eu des effets positifs sur le marché obligataire. Après avoir vu les taux osciller à des niveaux très bas au cours des dernières années, plusieurs investisseurs remettaient en doute le caractère défensif des titres du marché obligataire, particulièrement après une année 2022 plutôt difficile. Toutefois, la remontée des taux observée depuis douze mois laisse croire que les qualités défensives des obligations sont rétablies, du moins en partie.

PRODUITS DE BASE – Du côté des produits de base, le blé attire l’attention avec un septième recul mensuel consécutif pour atteindre un repli de plus de 30 %, sa pire séquence depuis 1964! Les prix des denrées fléchissent alors que les prévisions de récolte s’améliorent à mesure que l’industrie agricole augmente sa production, réduisant la pression découlant de la chute des exportations de l’Ukraine.

LA SUITE – L’économie demeure étonnamment résiliente en raison de la force du secteur des services, mais plusieurs indicateurs pointent vers une récession d’ici les douze prochains mois. Les problèmes causés par une politique monétaire restrictive continuent d’émerger : diminution des valeurs immobilières, diminution de l’accès au crédit, fléchissement de la croissance des bénéfices et premiers signes de pertes d’emplois.

 

DES NOUVELLES AU SUJET DE NOS TITRES

TORONTO, le 20 avril 2023 /PRNewswire/ – BMO a célébré le Jour de la Terre au début de l’année avec la troisième édition de sa journée annuelle unique « Des transactions qui font pousser des arbres » le 19 avril. Grâce à une approche novatrice de collecte de fonds, plus de 375 000 arbres ont été plantés à ce jour. Une partie des revenus issus des échanges quotidiens sur les marchés mondiaux sera réservée à l’atteinte de l’objectif global de la BMO de planter 500 000 arbres d’ici 2025.

La plantation d’arbres sera réalisée en partenariat avec des organisations comme Veritree et One Tree Planted. La plateforme de Veritree est transparente quant aux efforts mondiaux de reboisement et à ce qui se passe sur le terrain, et elle s’associe à des organismes locaux porteurs de projets de plantation d’arbres à travers le monde.

Le journal The Globe and Mail rapporte dans son édition du jeudi 20 avril que Metro affirme que l’inflation alimentaire commence à se modérer. En effet, Susan Krashinsky Robertson écrit que Metro a déclaré que son bénéfice du deuxième trimestre avait augmenté de 10,4 %, l’inflation continuant de faire grimper ses ventes. Les résultats des douze semaines précédant le 11 mars sont le reflet de la période habituelle d’interdiction d’augmentation des prix de Metro, qui dure de la mi-novembre au début février. Le président et chef de la direction de Metro, Eric La Flèche, a signalé en janvier que d’autres hausses de prix toucheraient ses étagères alors que l’entreprise faisait face à des milliers de demandes de hausses de prix dans son système. Cependant, il a déclaré que le nombre total de demandes de ce type émanant de fournisseurs avait diminué en février et en mars par rapport à la même période l’an dernier, et que l’ampleur de ces demandes était également moins importante.

 

Mai 2023

Après avoir connu un fort départ à l’amorce du deuxième trimestre en avril, les marchés se sont montrés plus hésitants en mai. Les investisseurs ont dû revoir, entre autres, leurs prévisions à l’égard de la stratégie de la Réserve fédérale américaine avant de composer avec de nouvelles inquiétudes par rapport au secteur bancaire, et ce, alors que les politiciens américains tardaient à s’entendre sur le relèvement du plafond de la dette.

ACTIONS – En mai, le S&P 500 a grimpé de 0,4 %, mais sa version équipondérée a reculé de 3,8 %. Les cinq plus grands contributeurs (NVDA, GOOGL, AMZN, MSFT, AAPL) ont augmenté de 2,4 % alors que les autres perdaient 2,0 %. Depuis le début de l’année, l’indice phare américain progresse de 9,6 % alors que sa version équipondérée recule de 0,7 %. Autre signe de concentration de la performance : les dix plus grandes composantes du S&P 500 sont responsables de plus de 104 % de la performance de l’indice global. De surcroît, c’est moins de 30 % des composantes du S&P 500 qui surpassent l’indice, alors que théoriquement, cette proportion devrait tourner autour 50 %. Pour sa part, le TSX a régressé de 4,95 % en mai, rapportant sa progression pour 2023 à seulement 2,28 %. Au cours du mois, seul le secteur technologique a terminé en territoire positif.

ÉCONOMIE – Malgré une légère hausse du taux de chômage en mai, pas moins de 339 000 emplois ont été créés au cours du mois. Alors que les prévisions de croissance du PIB pour 2023 n’étaient que de 0,3 % en décembre dernier, elles sont actuellement de 1,1 %. Les données économiques récentes excèdent généralement les attentes et on note une amélioration de la confiance des consommateurs alors que l’inflation décline. Après avoir atteint un sommet de 9,1 % en juin 2022, l’indice des prix à la consommation est passé à 4,9 % en avril dernier, et devrait tendre vers 3,5 % d’ici les deux prochains mois.

OBLIGATIONS – La résilience économique observée tant au Canada qu’aux États-Unis a fait son effet sur les marchés obligataires. Alors qu’encore tout récemment, des investisseurs anticipaient des baisses du taux directeur dès la période estivale, ceux-ci ont dû revoir leurs prévisions. À leurs niveaux actuels, les taux d’intérêt canadiens se situent près de leur sommet des cinq dernières années, présentant des seuils de plus en plus attrayants pour investir de nouveaux capitaux dans le marché obligataire et même, éventuellement, rallonger la durée des portefeuilles.

PRODUITS DE BASE – Du côté des produits de base, des données économiques chinoises décevantes ont mis de la pression sur le marché des métaux de base.

 

DES NOUVELLES AU SUJET DE NOS TITRES

Apple a annoncé un nouvel accord de plusieurs milliards de dollars avec Broadcom pour développer des composants de radiofréquence 5G aux États-Unis

« Nous sommes ravis de prendre des engagements qui exploitent l’ingéniosité, la créativité et l’esprit d’innovation de la fabrication américaine », a déclaré le PDG d’Apple, Tim Cook, dans un communiqué.

Les composants développés par Broadcom, une société de technologie et de fabrication de pointe, comprendront des filtres FBAR et d’autres éléments pour la connectivité sans fil, selon le communiqué. Ceux-ci sont différents des modems 5G fabriqués par Qualcomm.

La société a déclaré que l’accord avec Broadcom lui permettrait également d’investir dans des « projets d’automatisation et de perfectionnement critiques » avec des ingénieurs et d’autres techniciens. Apple prend déjà en charge plus de 1 100 emplois dans l’usine de fabrication de filtres FBAR de Broadcom à Fort Collins, Colorado, selon le communiqué.

 

COPENHAGUE, Danemark et WATERLOO, Ontario, 17 mai 2023 /PRNewswire/ –Vertica by OpenText (NASDAQ : OTEX, TSX : OTEX) et Anritsu Service Assurance ont annoncé l’élargissement de leur partenariat de longue date en lançant une nouvelle génération d’outils analytiques. Cette nouvelle technologie de base de données est conçue pour répondre aux exigences des réseaux 5G du monde entier.

Les capacités de la base de données analytique Vertica intégrées à l’architecture Anritsu permettront un traitement des données à l’échelle de plusieurs pétaoctets.

 

Juin 2023

Après un mois de mai empreint d’une hésitation palpable, les actions mondiales ont clôturé le premier semestre avec un dynamisme effervescent, menées par la performance supérieure continue des entreprises technologiques américaines et l’emballement pour l’intelligence artificielle. La modération notable de l’inflation, l’ombre d’une pause prolongée de la Réserve fédérale américaine (FED), les attentes d’un atterrissage en douceur de l’économie, le phénomène de l’anxiété du ratage et l’accumulation de l’épargne des investisseurs sont tous des facteurs ayant joué un rôle catalyseur dans la poussée des indices mondiaux.

ÉCONOMIE – POLITIQUES MONÉTAIRES MONDIALES, UN TRIO « TOUT GARNI » – Même si la croissance des prix ralentit et que la tendance est encourageante, l’inflation est encore au-dessus des attentes des grandes banques centrales. Bien que l’on ne rejette pas la possibilité d’une éventuelle récession, les données laissent penser qu’une contraction économique n’aura pas lieu dans un futur proche. Pour fonctionner, une politique monétaire a besoin de temps. Les banques centrales voudront voir une faiblesse économique marquée avant de renverser leurs hausses de taux.

MARCHÉS BOURSIERS – « VENDRE EN MAI ET S’ÉCHAPPER? » – Les actions mondiales ont enregistré une solide performance en juin. L’indice phare américain S&P 500 a dégagé un rendement total de 6,61 % en $ US, un quatrième mois de gain mensuel consécutif, soit sa plus longue séquence positive depuis août 2021. Les actions cycliques et celles de « croissance » ont prolongé leurs gains annuels, alors que les actions « valeur » et les titres de société à petites capitalisations se sont remis de leur chute récente, surpassant le marché.

MARCHÉ OBLIGATAIRE – Pour un deuxième mois consécutif, les craintes d’un ralentissement économique se sont estompées, faisant rebondir les taux obligataires à des niveaux atteints avant la crise bancaire aux États-Unis. Cela reflète des perspectives plus optimistes pour l’économie et annonce que les banques centrales amèneront probablement les taux encore plus haut et pour plus longtemps. Aligné sur les attentes des banquiers centraux, le marché ne s’attend plus à des baisses de taux cette année.

PRODUITS DE BASE – Du côté des produits de base, la chute des prix s’est stabilisée en juin, indépendamment des nouvelles économiques toujours peu reluisantes du côté de la Chine. Les valorisations actuelles des différentes matières premières, toutes à la baisse pour l’ensemble de l’année, subissent la pression d’une éventuelle récession

 

DES NOUVELLES AU SUJET DE NOS TITRES

BENTONVILLE, Arkansas – Les acheteurs qui cliquent sur le bouton Acheter sur le site Web de Walmart afin de ramasser des articles en bordure de rue remarqueront bientôt une différence : un nouvel emballage.

Le plus grand détaillant du pays mettra en place des changements pour éliminer les déchets dans l’ensemble de son entreprise. Walmart remplacera les emballages en plastique par des emballages en papier pouvant être recyclés.

Il intégrera une technologie sur mesure dans environ la moitié de ses centres de distribution, de sorte que chaque boîte expédiée utilise moins de matériaux et que plus de boîtes puissent être chargées dans chaque camion. D’ici la fin de l’année, les clients de tous ses magasins pourront demander de ne pas utiliser de sacs en plastique lors de la récupération de commandes avec ramassage en bordure de rue.

Walmart souhaite réduire les emballages à mesure que les ventes en ligne deviennent une part plus importante de son activité. Les transactions numériques représentent désormais environ 13 % des ventes annuelles totales de Walmart aux États-Unis.

 

L’engagement à long terme de CVS Health soutient le développement de 18 mégawatts de nouvelle énergie solaire, aidant l’entreprise à réduire son empreinte carbone de près de 17 000 tonnes métriques chaque année

CVS a annoncé un accord de 18 mégawatts avec Constellation pour acheter de l’énergie renouvelable à zéro émission, ce qui équivaut à la consommation annuelle d’électricité de ses 147 emplacements CVS Health dans tout le Michigan.

La performance des actions en bref

Au début de l’année, nous avons pris la décision d’augmenter notre exposition au secteur technologique, qui affichait des prix très bas par rapport aux prix du début de l’année 2022. L’incertitude et la volatilité nous offrent souvent des occasions de dégager des revenus supplémentaires. Nous savons maintenant que nous avions pris une bonne décision.

Il faut se rappeler qu’au moment d’écrire ces lignes, la performance du S&P 500 depuis le début de l’année est d’environ 16 % et que celle-ci est attribuable à environ une dizaine de titres technologiques que suit cet indice.

Comment est-ce possible? L’indice S&P 500 est pondéré en fonction de la capitalisation boursière de chaque compagnie, ce qui veut dire que les 10 plus grandes compagnies représentées par cet indice ont un poids beaucoup plus important que les 490 autres. On parle ici de quelque 30,5 % de la valeur de l’indice que l’on retrouve dans 10 titres.

Il y a donc une rupture entre les composantes de très grande qualité et les aux autres. Historiquement, les 500 titres du S&P 500 ont affiché une performance relativement homogène, ce qui veut dire que deux scénarios possibles. Soit les 10 titres les plus performants du S&P 500 réussiront moins bien que l’indice et se rapprocheront de la moyenne historique, soit les 490 autres titres augmenteront de façon fulgurante d’ici la fin de l’année. Compte tenu des risques de récession, nous croyons que le premier scénario est le plus probable, ce qui justifie nos nombreuses transactions récentes pour dégager des profits, mais également notre adoption d’une approche plus défensive.

Répartition des portefeuilles en gestion discrétionnaire

Nous avons récemment fait plusieurs changements dans notre modèle de gestion discrétionnaire EVA en détention directe. Compte tenu du nombre de changements, nous avons cru bon de vous communiquer la répartition actuelle de la portion « croissance » des différents portefeuilles par rapport à leur indice de référence.

Au début de l’année, la proportion de nos placements dans le secteur des technologies était trop grande, mais nous avons récemment fait plusieurs ventes afin d’atteindre la cible de notre indice de référence. Nous en avons profité pour accroître notre encaisse ainsi que notre position dans les secteurs de la consommation de base et des télécommunications pour les rapprocher de leur cible. Nous maintenons une sous-pondération à court terme des secteurs industriel, financier, des matériaux et de l’énergie afin de nous protéger contre les risques de récession.

 

Référence

GD EVA

Diff.

Technologies

19,6 %

20,9 %

1,4 %

Consommation discrétionnaire

8,1 %

8,2 %

0,1 %

Télécommunications

6,8 %

6,4 %

0,4 %

Consommation de base

5,9 %

13,3 %

7,4 %

Santé

7,8 %

4,1 %

-3,7 %

Industrielles

10,5 %

6,9 %

-3,6 %

Services publics

3,0 %

2,9 %

-0,1 %

Matériaux

5,9 %

1,6 %

-4,3 %

Financières

21,3 %

18,3 %

-3,0 %

Énergies

9,3 %

1,4 %

-7,9 %

Immobilier

1,7 %

0,2 %

-1,5 %

Encaisse

0,0 %

11,1 %

11,1 %

Alternatif

0,0 %

4,6 %

4,6 %

En conclusion, le début d’année nous a été favorable et a fait s’envoler les résultats d’une année 2022 difficile dans la majorité des cas. Il est impossible de prédire l’avenir, mais nous croyons qu’avec l’appréciation récente des cours boursiers et la situation économique qui semble tendre vers un ralentissement, il est possible que nous assistions à une décélération de la progression des cours boursiers durant le second semestre de 2023. L’encaisse du portefeuille génère actuellement un rendement annualisé de plus de 5 % et nous permet de miser également sur le taux de change afin d’accroître le rendement.

Chacun des conseillers de Valeurs mobilières Desjardins (VMD) dont le nom est publié en page frontispice du présent document ou au début de toute rubrique de ce même document atteste par la présente que les recommandations et les opinions exprimées aux présentes reflètent avec exactitude les points de vue personnels des conseillers à l’égard de la société et des titres faisant l’objet du présent document ainsi que de toute autre société ou tout autre titre mentionné au sein du présent document dont le conseiller suit l’évolution. Il est possible que VMD ait déjà publié des opinions différentes ou même contraires à ce qui est ici exprimé. Ces opinions sont le reflet des différents points de vue, hypothèses et méthodes d’analyse des conseillers qui les ont rédigées. Avant de prendre une décision de placement fondée sur les recommandations fournies au présent document, il est conseillé au receveur du document d’évaluer dans quelle mesure celles-ci lui conviennent, au regard de sa situation financière personnelle ainsi que de ses objectifs et besoins de placement.

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